Voyez aussi la Base Sepulchre et les renvois vers les différents fichiers.
Cette généalogie est, à l'origine, basée sur plusieurs arbres généalogiques: celui qui a été publié en 1985 (/arbre 1985/), un arbre transcrit par Catherine Sepulchre† et transmis en 1953 à mon grand-père Joseph Mattlet†, et plusieurs autres arbres manuscrits qui proviennent des papiers de Joseph Mattlet. Chaque arbre a apporté son élément nouveau mais aucun n'était complet ni tout à fait correct; tous semblent tirer leur origine des recherches effectuées avant 1914 par Joseph Sepulchre† (voyez les "Renseignements sur la famille Sepulchre de Solières (Ben Ahin)" de Joseph Sepulchre (1914) -- source /Joseph Sepulchre/). Des recherches effectuées aux Archives de l'État à Huy ont apporté une moisson d'informations complémentaires ou nouvelles.
Les indispensables "Notes sur la Famille SEPULCHRE aux 18ème et 19ème Siècles" de Jean Benoît Sepulchre (source /Jean-Benoît Sepulchre/) relatent l'histoire de la famille et utilisent des documents d'archives familiales. Au moment de la vente de la "grande maison" de Solières (il y avait deux maisons Sepulchre à Solières), Jean-Benoît avait récupéré les archives de la famille, qui gisaient oubliées. Catherine Sepulchre† avait aussi des archives familiales (aujourd'hui en possession de Paul Sepulchre, branche Henri). D'autres documents sur la famille existent qui ne sont pas encore inventoriés.
Au moins depuis la fin du XVIIème, la famille a toujours écrit le nom sans accent. Les Sépulchre semblent bien ne pas être liés aux Sepulchre.
On notera l'orthographe variée du patronyme: Sepulchre, Sepulcre, Sepulgre, Sepulghre, Sepulte, Sepult, Sepul. Toutes variantes dont <Sepul> est la racine. D'apres /Carmoy/, le nom "Sepulcre a pu désigner un pélérin du S.Sépulcre" (in /Carmoy/ p.196). /Herbillon & Germain/ donnent encore quelques autres graphies du nom. Selon ces auteurs, l'origine du nom peut être soit un "surnom d'habitant à proximité d'un Saint-Sépulchre" -- sépul désignant en wallon de Liège un monument religieux --, soit un "surnom comparable à (Metz) sint speuc personne qui demeure longtemps sans bouger".
Une synthèse -- dont je n'ai pas la référence complète -- de Jacques Bodrais, d'après A.J.Greimas, A.Dauzat et M.Th.Morlet (auteurs de dictionnaires relatifs au Moyen-Âge) va dans le même sens que Herbillon et Germain : "le surnom 'del sépulcre' fut probablement attribué [...] vers le XIéme, XIIème ou XIIIème siècle [...] en raison [du] lieu d'habitation". Toute cette synthèse est bien intéressante car elle explique en quelques paragraphes l'origine des noms dans le contexte du nom "Sépulchre".
Je me rallie à la première explication de Herbillon et Germain et à celle de Bodrais, car la bonne explication est généralement géographiquement proche des ancêtres de la famille. Jean-Benoît Sepulchre a une opinion différente que voici : '' Le Larousse des "Noms patronymiques de France" fait remonter l'origine du patronyme "Sepulchre" aux croisades. C'était en l'occurrence, lit-on dans cette édition du Larousse, une appellation (sorte de sobriquet) réservé aux pèlerins de Jérusalem (le patronyme de "Dieuleveult" a la même origine).
'' Peut-être est-ce pour garder le souvenir de cela que nos lointains ascendants depuis 1695 au moins tenaient très manifestement à conserver l'orthographe ancienne du nom!
'' Le sobriquet aurait été réservé aux pèlerins qui effectuaient le pélerinage pour le compte d'autres, en l'occurrence des personnes dans l'obligation (voeux, pénitences ... etc.) d'accomplir ce pèlerinage mais qui n'étaient pas en mesure d'y satisfaire (maladie, manque de temps etc...). Le plus simple pour ces dernières auraient été de "s'arranger" sous une forme ou l'autre avec quelqu'un d'autre pour tenir la promesse faite ou la pénitence reçue !
'' C'est ainsi que chez les "Trazegnies" on retrouverait le patronyme "Sepulchre" qui aurait été attribué à un des leurs ayant accompli le dit pèlerinage dans ces dites circonstances (ceci reste à vérifier) ! '' (J.-B. Sepulchre, 17/8/2003)
Dans les temps présents, le patronyme est relativement répandu en Belgique. /Herbillon & Germain/ -- T.II, p. 1111 recense en 1987 369 porteurs du nom Sepulchre ou Sépulchre -- J.Bodrais recense, toujours en Belgique, "moins de cent" porteurs du nom Sépulchre.
Nom | Anv. | Brux. | Br. fl. | Br. w. | Fl. occ. | Fl. or. | Hain. | Lg. | Limb. | Lux. | Nam. | Total |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Sépulchre | 0 | 13 | 1 | 0 | 4 | 1 | 2 | 107 | 3 | 0 | 15 | 146 |
Sepulchre | 0 | 57 | 10 | 23 | 4 | 1 | 8 | 64 | 5 | 3 | 48 | 223 |
On voit dans ce tableau que, excepté Bruxelles qui a aspiré tous les patronymes, le nom <Sepulchre> est représenté principalement dans les pays de Namur et de Liège. Cela semble indiquer une origine commune non seulement des noms mais aussi des familles. Quelle que soit en effet l'importance que nous accordons à l'absence de l'accent, cette absence n'a en elle-même à peu près aucune signification. Témoin d'ailleurs l'orthographe Sepulgre dont ont signé plusieurs de nos anciens : si 'g' au lieu de 'ch' est possible, que dire de 'é' au lieu de 'e'?
C'est seulement au début du XVIIIéme siecle que les membres de la famille Sepulchre font souche sur le territoire de la paroisse de Beaufort (qui englobait Saint-Léonard, Solières, Thienogrive, Gives, Ben et Ahin).
Aujourd'hui encore Thienogrive -- l'orthographe du nom a varié, mais la consonnance était T[i]enogrive ou T[i]enogriffe -- se réduit à une ferme et quelques maisons. Il est donc raisonnable de penser que les personnes qui naissent, vivent ou meurent à Thienogrive sont proches les unes des unes, au XVIIIéme siècle.
En 1713 Jean-Henri Sepulchre.001 achète la ferme de Thienogrive (/Joseph Sepulchre/ p.1); c'est pour cette raison que nous l'appelerons Jean-Henri de Thienogrive pour le distinguer des Jean-Henri de Solières, et Jean-Henri I de Thienogrive pour le distinguer de son petit-fils Jean-Henri II de Thienogrive.
Ce même Jean-Henri, sa femme Jeanne Fontaine, et Barthélemy.001 sont tous trois décédès à Thienogrive en 1746. D'une épidémie?
On sait que Barthélemy, et en tous cas sa deuxième épouse Marie Agnès Haidon, était déjà à Thienogrive en 1742 car sa fille Marie Anne.011 y est née. Notons cependant que la dite Marie Agnès Haidon, décédée en 1761, est morte à Haillot!
En 1717 déjà, Marie-Thérèse Sepulchre.A02, fille de Pierre Sepulchre.A01 est décédée à Thienogrive.
Trois au moins des enfants du deuxième mariage de Barthélemy vivront à Thienogrive : Jean Joseph.012 qui vivra là jusqu'à sa mort en 1826 (c'est avec lui que, selon /Joseph Sepulchre/ p.1, la descendance masculine à Thienogrive s'éteint); Marie Jeanne.012 et son mari Georges Joseph Rorive pourraient bien avoir vécu là, Marie Jeanne y est décédée; Marie Joseph.012 et son mari Jean-Bauduin Rorive, frère de Georges Joseph, y ont vécu de 1805 à 1816 au moins et leurs enfants semblent bien y être nés (voir Rorive.003).
Jacques Sepulchre.004, fils de Martin.002 (de Solières) est décédé à Thienogrive en 1801.
Tant dans le mesurage de 1758 que dans la répartition de l'impôt de 1762 (voyez Repartition_Impot_Beaufort_1762) Thienogrive appartient aux "enfants Sepulgre". Ceux-ci ne peuvent pas être les enfants de Jean-Henri I l'ancien (001) ni ce dernier car dans les actes qu'on a il n'en est pas ainsi; donc ils sont les enfants de Barthélemy.001 qu'on a vu plus haut.
Les premières traces de la présence de Jean-Henri I l'ancien Sepulchre.001 à Solières sont 1719 puis 1725. En 1719 il est parrain de Jean-Henri Penasse.001; en 1725, c'est la naissance de son premier enfant, Marie-Claire, issue de son mariage avec Marie Médart.002. Jean-Henri et Marie achèteront en 1730 la maison "Isabeau" à Solières, que dans la famille on a plus récemment appelée la vieille maison (/Jean-Benoît Sepulchre/ pp.14-15) et qui depuis est toujours restée dans la famille (aujourd'hui elle appartient à des descendants de la branche François).
La présence du nom Sepulchre a Solières a été continue depuis 1725 au moins jusqu'il y a peu. Mais il ne semble pas y avoir eu d'autres Sepulchre que les descendants de Jean-Henri "l'ancien".
À la fin du XVIIéme siècle et dans la première moitié du XVIIIéme siècle, on trouve des Sepulchre à Huy et à Antheit. Ceux d'Antheit et ceux de Huy étaient manifestement liés; par exemple les enfants de Pierre Sepulchre.A01 sont nés et ont vécu tant à Huy qu'à Antheit.
Le même Pierre est lié avec le curé de Celles, André Sepulchre.B01, et donc avec les Sepulchre de la région de Waremme qui ne sont que quelques uns. Pierre ou sa femme devait avoir une certaine notoriété ou des liens avec la noblesse (voyez les parrainages de leurs deux premiers fils (B01)).
C'est Pierre, ou plutôt ses filles, qui font le lien entre les Sepulchre de Huy et d'Antheit et ceux de Thienogrive : Marie-Thérèse mourra à Thienogrive, Marguerite vivra sur le territoire de Beaufort (Ben) et mourra à Antheit. Marie Joseph Berlaimont.001, fille de Marguerite, aura Barthélemy Sepulchre.001 pour parrain.
Ce dernier est parrain chez Sepulchre.002 et chez Berlaimont.001.
Jean-Henri I de Thienogrive Sepulchre.001 est parrain chez Sepulchre.002 et chez Sepulchre.012.
Et puis il y a Marie Jeanne Sepulchre.A01, dont on ne sait à vrai dire pas grand chose, d'autant plus qu'il y a deux Marie-Jeanne (voir Sepulchre.A01). Marie-Jeanne est marraine et, plus tard, témoin du mariage de Marie Jeanne Sepulchre.002, fille de Jean-Henri I l'ancien.001; elle est marraine de deux Berlaimont.001 -- enfants de Marguerite Sepulchre.A02; elle est encore marraine de Jean François Sepulchre.011, fils de Barthélemy Sepulchre.001.
Mais ni Jean-Henri I l'ancien ni Marguerite ne sont parrain ou marraine chez les autres Sepulchre, ce qui laisse perplexe.
Voici un tableau qui résume les parrainages :
chez Jean-Henri I l'ancien |
chez Barthélemy | chez Marguerite | |
Jean-Henri I de Thienogrive est | parrain | parrain | |
Barthélemy est | parrain | parrain | |
Marie-Jeanne est | marraine et témoin |
marraine | marraine deux fois |
Il existe un lien entre les Sepulchre et les
Piette. Les Piette ne
sont pas de la paroisse de Ben, ils sont peut-être de Huy, mais aussi de
Flostoy. Henri Piette a été vicaire de Beaufort (Ben) entre 1725 et 1731
(peut-être 1746); il est parrain des deux fils de Marguerite
Sepulchre (voir Berlaimont.001), et de la fille ainée de
Jean-Henri "l'ancien" (voir Sepulchre.002).
Jean-Henri II de Thienogrive Sepulchre.010, fils
du premier mariage de Barthélemy, épouse Marie-Catherine
Piette. Un enfant du deuxième mariage de Barthélémy a pour parrain
Jean-François Piette (voir Sepulchre.011). Une
Catherine Piette épouse un Penasse et son fils Dieudonné
épouse Marie-Jeanne Sepulchre.002, fille de Jean-Henri
I l'ancien (voir Penasse.003).
Mais ces liens, tout réels qu'ils sont, restent à éclaircir.
/Joseph Sepulchre/ distingue les Sepulchre de Tienogrive des Sepulchre de Solières, et c'est aussi ce qu'on vient de voir plus haut. Mais on peut faire les constatations suivantes :
Alors on peut hasarder quelques conclusions :
On adopte la première conclusion. Faute de plus ample preuve, les "autres" Sepulchre seront repris dans les annexes A, B, C et D.
Le prénom Jean-Henri est la marque de cinq générations de
Sepulchre. La numérotation des Jean-Henri de Solières est arbitraire et
est le reflet d'un usage commode de distinction. Le qualificatif
l'ancien du premier d'entre eux trouve son origine dans
/Jean-Benoît Sepulchre/. La numérotation des Jean-Henri de Thienogrive
apparaît ici pour la première fois.
Voici un petit arbre résumant la série des Jean-Henri (les chiffres 1, 2
désignent les premier et second mariages) :
JEAN-HENRI I de Thienogrive SEPULCHRE.001
|
----------------------------------------------
| |
JEAN-HENRY I l'ancien SEPULCHRE.001 Barthélemy
1 1 2
.-....------------------------.. | (7 enfants)
| | |
JEAN-HENRI II le jeune SEPULCHRE.002 Martin Jean-Henri II de Thienogrive Sepulchre ou Sepulcre.010
1 | |
| -.... |
| | |
JEAN-HENRY III SEPULCHRE.003 Jean-Henry.004 (5 enfants)
| mort enfant ne suit pas la tradition
.-....
|
Jean-Henri Sepulchre.005
mort enfant
En 1914, Joseph Sepulchre écrivait "Je me souviens que notre grand-père [Jean-François] disait que notre famille était originaire du pays de Stavelot" (/Joseph Sepulchre/ p.2). Jean-Benoît Sepulchre remarque très utilement que "pays" peut s'entendre au sens de territoire (/Jean-Benoît Sepulchre/ p.5) et n'implique donc pas, contrairement à ce que Joseph Sepulchre laissait croire, de proximité immédiate.
Le "pays" de Stavelot était une principauté abbatiale -- dite de Stavelot-Malmédy -- qui relevait temporellement du Saint-Empire Germanique. Spirituellement l'abbé de Stavelot relevait du prince-évêque de Liège, et celui de Malmédy du prince-évêque de Cologne.
La principauté comprenait administrativement les postelleries1 de Stavelot et de Malmédy et le comté de Logne. Or "la tradition orale [Sepulchre] attribue la provenance du premier Jean-Henry [I l'ancien] et de ses ascendants au Pays de l'Ourthe, et plus précisément au village de Vieuxville" (J.-B. Sepulchre op.cit p.5).
On n'a pas pu encore prouver cette origine stavelotaine. Mais il y a bel et bien, à la fin du XVIIéme siècle et au début du XVIIIéme siècle, des Sepulchre à Vieuxville -- qui faisait partie du comté de Logne -- et à Mont et Raideux (Comblain-au-Pont), paroisses proches.
On trouvera ces Sepulchre dans l'annexe C.
Dans la région de Liège, on trouve au XVIIIéme siècle une petite famille de Sepulchre, seigneurs de Disque, et habitant à Jemeppe-sur-Meuse, près de Liège.
On trouvera ces de Sepulchre, encore mal connus, dans l' annexe D.
Dans la région de Ciney, on trouve dans la seconde moitié du XVIIIéme et au XIXémesiècles des Sepul, Sépul, Sepulle ou Sepult, rarement appelés Sepulcre. A Havelange on trouve des Sépult qui, vers la fin du XVIIIéme siècle, deviennent des Sepulchre. La parenté de ces Sepulle et Sepulchre avec les Sepulchre de Solières n'est pas établie et il n'est pas encore possible de dire même qu'ils étaient proches de Jacques Sepulchre.004 et de la descendance de celui-ci, installés à Ciney depuis 1816 au moins.
L'orthographe du patronyme, qui sonne le plus souvent comme <sepul>, est très peu significative car elle change sans cesse et on trouve même un cas flagrant d'erreur de l'officier d'état civil qui, dans l'acte de mariage d'Alexis II Sepul.G03 -- Sepul est l'orthographe de l'acte de baptême en 1775 --, écrit Sépul alors que le marié signe Allexis Sepulle.
La plupart des Sepulchre de Ciney et paroisses voisines descendent de Pierre Sepult.G01, de Sorée.
Bien qu'on n'ait pas encore trouvé de lien explicite entre les deux familles, il y a une probabilité non négligeable de parenté. Si cela se vérifiait, cela donnerait une indication très sûre qu'il y aurait aussi un lien de parenté avec les Sepulchre de Havelange.
A Havelange, on trouve depuis la seconde moitié du XVIIème siècle au moins une population Sepult ou Sepulchre assez importante. La plupart d'entre eux descendent de Jean Sepult.G01.
Mais cela est insuffisant pour permettre d'identifier un lien familial réel entre Havelange et Solières.
On trouvera ces Sepulle et Sepulchre dans l'annexe G.
En octobre 2007, Monsieur Michel Trousson nous a communiqué copie de la fiche de Jean-François Sepulchre.005 « tirée des médaillés de Sainte-Hélène. » En outre il nous apprenait l'existence de Sepulchre à Ninane (commune de Chaudfontaine, entre Liège et Verviers) au XVIIIe siècle; voyez le le fichier PDF ). Encore une piste à explorer!
Table alphabétique des prénoms des Sepulchre
Table alphabétique des alliés et
proches
Arbre sommaire des descendants de
Jean Henri I de Thienogrive Sepulchre.001.
Le Condroz est une région de géographie physique qui forme, à partir du sillon Sambre-et-Meuse, une bande de vingt à trente kilomètres de large vers le sud-est; nous ne considérons que la partie située grosso modo entre la haute Meuse à l'ouest et l'Ourthe -- aflluent de la Meuse -- à l'est. Vu ainsi le Condroz peut se diviser grossièrement en Condroz liégeois à l'est et Condroz namurois à l'ouest et sud-ouest, la division serpentant autour du Hoyoux -- qui se jette dans la Meuse à Huy. Il se trouve que cette division arbitraire correspond assez bien à des populations Sepulchre n'ayant pas -- ou très peu -- de liens clairs entre elles. Tienogrive et Solières sont dans le Condroz namurois mais on les a classé à part puisque c'est là que vécut notre famille.
Plus parler plus simplement, les différentes annexes représentent des groupes Sepulchre plus ou moins cernés -- et c'est d'ailleurs le but de ces divisions.
Les Familles :
01
02
03
04
05
06
07
08
09
10
11
12
13
14
15
16
17
Les Familles, annexes A (région de Huy) et B (Hesbaye) :
A01
A02
[A03 A04 A05] ;
B01
B02
B03
Les Familles, annexes C (Condroz liégeois) :
C01
C02
C03
C04
Les Familles, annexes D (région de Liège) :
D01,
D02,
D03
Comptages des Sepulchre par paroisse, annexe E 1 :
E01 1 ;
Les Familles, annexes F (région d'Andenne) :
F01;
Les Familles, annexes G (Condroz namurois) :
G01, G02,
G03, G04,
G05, G06,
G07, G08,
G09, G10,
G11, G12,
G13;
Consanguinité Sepulchre - Morsa, annexe E 2 :
E01 2 ;
Les consanguinités Médart-Sepulchre sont dans
l'Annexe B des Médart
Historique des changements
08-06-19 les Sepulchre de Ninane 07-07-11 corrections insignifiantes 04-11-21 familles G09 à G12 ajoutées; information au sujet des Sepulchre de Havelange 04-10-20 annexe H01 incluse dans G01; note sur le Condroz et la division en annexes; familles C04 et G08 ajoutées 04-09-16 familles 14 à 17, G07, H01 ajoutées 04-04-19 et 04-05-13 : renvoi vers familles 13, annexes G 04-03-15 conclusions au sujet de Barthélemy et Jean-Henri de Thienogrive; renvoi vers annexes E01, E02 03-12-27 révision 03-09-18 ajout de l'opinion de Jean-Benoît Sepulchre sur le patronyme 03-01-20 : renvoi à l'arbre sommaire etc 03-01-07--09 : changements de présentation; renvois aux annexes A à D, et à la table alphabétique 02-01-13 : citation de Herbillon et Germain 99-11-21 : HTML 94-03-02 : additions 92-02-26
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Henri Schoenmackers (Bierges, Belgique) - 2009 | |
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